À Nantes l’année suivante, Perconte nous propose de sombrer dans l’immensité visuelle d’un espace architectural occupé par 6 écrans verticaux. Tels des smartphones géants, ils construisent autant de « portes » sur les dérives visuelles hors norme de l’artiste. Il composait encore un dispositif, nous confrontant à sa grammaire de la matière code de son image procédurale. Il valide ainsi l’inextricable poussée de l’industrialisation face à la nature de l’estuaire de la Loire en mettant en jeu un dialogue incessant entre ciel, terre et mer dans les espaces du Lieu Unique.